PANDA
TITRE
Panda
SYNOPSIS
Pacifiste détendu et adepte du cool, Panda (Julien Doré) tient une petite paillote dans un coin reculé de Camargue. Pas de portable, pas d'ordi, pas de voiture, il vit avec son ado de 16 ans dans ce parfait cocon de paix et de sérénité, et fuit tout ce qui ressemble de près ou de loin à un conflit.
Comment imaginer que ce grand sage en tongs et tee-shirt délavé ait un jour été flic ? Et pas n'importe lequel. Un des meilleurs. Hélas, même au paradis, y'a pas moyen d'être tranquille ! Le jour où son ancienne vie vient frapper à la porte, Panda se retrouve obligé de reprendre du service... Mais à sa façon. Sans arme ni violence et pas trop tôt le matin. Zen, quoi.
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FICHE TECHNIQUE
Production : Nathalie Laurent, Clément Calvet, Jérémie Fajner
Sociétés de production : Superprod Drama et TF1
Réalisation : Nicolas Cuche (épisodes 1 et 2) et Jérémy Mainguy (épisodes 3 à 6)
Scénario : Thomas Mansuy et Mathieu Leblanc, avec l'aide de Bastien Dartois, Joseph Lantigny et Agathe Robillard à l'écriture
Décors : Laurie-Salomé Cubaynes Benzakin
Costumes : Hyate Luszpinski
Photographie : Tristan Tortuyaux (épisodes 1 et 2), Vadim Alsayed (épisodes 3/4/5/6)
Son : Frédéric Mascaras
Montage : Frédérique Olszak (épisodes 1 et 2), Bertrand Nail et Marie Reglisse Monsimier (épisodes 3/4/5/6)
Maquillage : Laurence Elliott
Coiffure : France Rossi
Genre : Comédie policière
Pays de production : France
Langue originale : français
Format : couleur
Nombre de saisons : 1
Nombre d'épisodes : 6
Durée : 52 minutes
Dates de première diffusion :
Belgique : 22.11.2023 (RTL TVI)
France : 30.11.2023 (TF1)
FICHE ARTISTIQUE
Julien Doré : Victor Pandaloni, surnommé Panda
Ophélia Kolb : Lola
Gustave Kervern : le commissaire Messina
Hélène Vincent : Thérèse
Maxence Lapérouse : Stan
Laure Osseni : Ariane, la légiste
Mathis Bour : Roman, le fils adoptif de Pand
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BANDE ORIGINALE
Musique : Adrien Durand
GENESE
La série est créée et écrite par Thomas Mansuy et Mathieu Leblanc, avec l'aide de Bastien Dartois, Joseph Lantigny et Agathe Robilliard à l'écriture, et réalisée par Nicolas Cuche (épisodes 1 et 2) et Jérémy Mainguy (épisodes 3 à 6).
Le titre de la série est un clin d'œil au clip « Coco câline » de Julien Doré, où le chanteur est déguisé en panda.
Thomas Mansuy, l'un des scénaristes de la série, confirme que le rôle de Panda a été taillé sur mesure pour Julien Doré : « Il fallait trouver l'équilibre sans être trop complaisant sur son personnage sur scène. Il fallait lui trouver quelque chose qui pourrait lui aller. Très rapidement, Mathieu Leblanc a rejoint l'aventure et on a construit ça comme ça. C'était vraiment du sur-mesure pour Julien. Il a très rapidement évoqué la Camargue parce que c'est une région qui lui tient à cœur. Il a vraiment nourri le concept ».
Après le succès de la série, dont le premier épisode compte une audience de 7,7 millions de personnes à J+7, Julien Doré se laisse le temps de la réflexion quant à une éventuelle saison 2 : « J'ai besoin d'avoir le retour des gens qui m’aiment, ma famille, mes amis et les gens qui me suivent. De sentir que ce que je propose est respectueux de l’amour et de l’amitié qu’ils me portent. Si je sens qu’ils ont kiffé, je réfléchirai à la suite... ».
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ATTRIBUTION DES ROLES
Le rôle-titre est attribué au chanteur Julien Doré qui, assis derrière un bureau et vêtu d'une chemise aux motifs colorés, l'annonce le 2 mai 2023 en postant quelques indices sur son compte Instagram : « Quelque chose se prépare mais Quoi ? », suivi d'un émoji de panda, un post qui est « liké » près de 40 000 fois en quelques heures.
Le lendemain 3 mai, Julien Doré publie sur ses réseaux sociaux une vidéo où il est entouré de ses partenaires Ophélia Kolb, Gustave Kervern et Maxence Lapérouse.
Ce n'est pas la première fois que Julien Doré est acteur : il a notamment joué son propre rôle dans plusieurs épisodes de la série télévisée Dix pour cent et a joué dans plusieurs longs-métrages comme Ensemble, nous allons vivre une très, très grande histoire d'amour..., Vampires, Pop Redemption et Chez nous c'est trois !.
Quand le site d'informations 7sur7 lui demande ce qui l'a poussé à accepter ce projet, Julien Doré répond : « Je marche à l'envie. J'ai cette chance immense de pouvoir choisir de faire ou de ne pas faire les choses qui me sont proposées. C'est un privilège immense. En fait, je ne cours pas après les choses si je n'ai pas de bonnes raisons de les faire. C'est le cas avec la musique aussi, si j'ai envie de faire un nouvel album, ou pas, une tournée... Je peux aussi ajouter à cette liste ma participation une année à The Voice Kids parce que j'en avais envie, parce que ça me faisait plaisir et point barre. Je fonctionne comme ça pour tous mes choix. Avant même que TF1 ne rentre dans la boucle pour diffuser cette série, il y avait simplement une équipe de production et un pitch. Rien n'était écrit. On m'a dit: “Si tu as envie de te lancer avec nous, on y va et on écrit. On va chercher un diffuseur, une chaine télé qui sera intéressée...” C'est de là qu'est partie cette aventure ». Concernant le style de la série, l'acteur commente : « D'habitude, les séries policières sont tellement inspirées des séries policières américaines, que parfois, le voyage de ces codes-là entre les États-Unis et chez nous prend cher à la douane, tu vois. Ici, ok, on est les Experts, mais on est les Experts de Palavas. On joue aux Experts mais, en fait, on est un peu nuls. Et c'est ça qui est cool ».
Quand Sarah Winkel de 7sur7 (22 novembre 2023) lui demande si les similitudes entre le personnage de Panda et lui-même sont intentionnelles, il répond : « Je pense que les scénaristes avaient la volonté de faire en sorte que le personnage de Panda ait le même rapport aux choses que moi. Moi aussi, je vis dans un endroit un peu perdu. Moi aussi, j’ai changé de vie. Je vis à la campagne, j’ai cette envie de protéger les animaux, d'observer tout ce qui est beau et qui nous entoure. Tout ça a aidé à nourrir le personnage que les scénaristes étaient en train d'écrire ».
Concernant ses partenaires de jeu, Julien Doré confie : « J'étais ravi de jouer au quotidien avec Ophélia Kolb. C'est vraiment une actrice incroyable. Elle m'a laissé des espaces d'improvisation, elle savait toujours rebondir, sans jamais être affolée. Je rêvais de tourner depuis toujours avec Gustave Kervern et j'étais ravi qu'il accepte d'interpréter le rôle du commissaire. C'était très agréable de tourner avec Hélène Vincent et Maxence Lapérouse. Je suis certain qu'il va être une immense découverte pour les téléspectateurs. Il porte son rôle de flic un peu perché avec tellement d'humour ».
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TOURNAGE
Le tournage de la série se déroule dans le plus grand des secrets à partir du 30 mars 2023, et il n'est révélé que le 2 mai par Julien Doré sur son compte Instagram.
Comme l'expliquent Télé-Loisirs et le Midi libre, la série a été tournée en de nombreux endroits du Sud de la France, répartis dans les départements des Bouches-du-Rhône, du Gard, de l'Hérault et de l'Aude : les scènes se déroulant à la paillote de Panda ont été tournées à Gruissan, près de Narbonne, le décor du commissariat a été construit dans la mairie de Palavas-les-Flots, les scènes de karaoké ont été tournées dans une boîte de nuit à Vauvert, et des scènes en extérieur ont été filmées dans les salins de Giraud et les Salins d'Aigues-Mortes, dans la manade Lafon à Saint-Nazaire-de-Pézan, ainsi qu'au village naturiste, au Centre international de tennis et dans le parc d'attractions Aqualand du Cap d'Agde.
Le tournage a laissé quelques souvenirs mémorables à Julien Doré, comme le moment où il devait s'approcher d'un grand chien, ce qui a priori n'aurait pas dû poser problème à l'acteur qui possède deux bergers blancs suisses. Sauf que le chien ne semblait pas vouloir se laisser approcher… « Quand il a à nouveau retroussé les babines au moment où je m'approchais de lui dans la séquence, je me suis dit que c'était mieux de ne pas prendre le risque d'aller plus loin ! ». « J'ai aussi en mémoire la scène d'ouverture où j'enlève un paréo et me retrouve nu. Jouer la comédie ainsi n'est clairement pas évident ! En plus, c'est une scène importante : la rencontre entre Lola et Panda et dans laquelle je devais dans la foulée démonter une arme. J'avais appris le geste avec un cascadeur mais le faire nu tout en jouant, c'était une autre histoire ! ».
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CRITIQUES
Pour Télérama, Panda est une comédie policière à base de « calino-thérapie » : « Une révolution baba cool qui fait souffler une légère brise de renouveau sur une antenne consacrée à la fiction familiale. Et qui bénéficie en premier lieu de la cote d’amour de son casting ».
Pour Jennifer Radier du site Allociné, « Cette comédie policière, qui se veut feel good, décalée et décomplexée, mêle tous les codes du genre pour mieux en prendre le contre-pied. Entre duo mal assorti mais qui se complète, humour à foison, répliques cinglantes, résolution d’enquêtes policières à base de câlins et galerie de personnages aussi loufoques qu’attachants, les amateurs devraient trouver leur compte. Et ce d’autant plus que cette nouvelle fiction peut compter sur un Julien Doré qui donne de sa personne pour se mettre dans des situations comiques et cocasses, quitte à oser le ridicule et l’assumer […] Dans ce rôle baba cool, Julien Doré est plutôt bon. Si au départ on peut avoir un peu de mal avec sa manière de jouer, il s’avère très vite que son style colle parfaitement à ce flic pacifiste qui vit en tongs et en chemise à fleurs. Julien Doré s'amuse et son plaisir est communicatif […] Avec une réalisation moderne et une cinématographie qui nous fait voyager au pays des cigales et de l’accent chantant, Panda se démarque par un scénario qui sort des sentiers battus, un humour décalé et un casting haut en couleurs ».
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« Julien Doré campe un ancien flic, amateur de méditation, connecté à la nature et ultra-zen. Un anti-héros qui lui va comme un gant ». Le Parisien
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« Un duo explosif qui n'est pas sans rappeler celui formé par Morgane Alvaro et le commandant Karadec dans "HPI". Cependant, "Panda" se distingue rapidement de son illustre aînée par sa poésie absurde, son rythme indolent et ses magnifiques paysages ». Le Point
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« Même si la production semble ressentir le besoin - un peu trop récurrent - de déshabiller le comédien, et que l'on a parfois la sensation de voir Julien Doré faire du... Julien Doré, son personnage de flic anticonformiste se révèle prometteur ». Télé 2 semaines
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« Bourrée d'humour, cette série policière ne se prend jamais au sérieux, tout ne prenant grand soin de surprendre à tout moment grâce à de petits décalages ». Télé 7 jours
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« Même si on peut avoir l'impression, de temps à autre, de voir Julien Doré "faire du Julien Doré", son personnage de flic anticonformiste se révèle plus que prometteur ». Télé Loisirs
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« Un personnage atypique et surtout très attachant, qui colle parfaitement au charisme du musicien ». Voici
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« Un cool sériel à la française, avec tout ce qu'il contient de bonnes idées, de «bobo-attitude» plus ou moins assumée et d'imperfections ». Le Figaro
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« Cette version "zen" de "HPI" suinte l'opportuniste manifeste d'attirer dans ses filets le chanteur Julien Doré dans une fiction que seule la mauvaise foi patente peut sauver du manque total d'intérêt ». Télé Cable Sat
AUDIENCE
Episode 1 : 364 164 téléspectateurs (Belgique)
6 400 000 téléspectateurs (France) - 29,8 % de la PDM
Episode 2 : 364 164 téléspectateurs (Belgique)
4 700 000 téléspectateurs (France) – 28,2 % de la PDM
Episode 3 : 328 836 téléspectateurs (Belgique)
4 890 000 téléspectateurs (France) – 24,4 % de la PDM
Episode 4 : 328 836 téléspectateurs (Belgique)
3 670 000 téléspectateurs (France) – 24,4 % de la PDM
Episode 5 : 320 094 téléspectateurs (Belgique)
4 600 000 téléspectateurs (France) - 22,8 % de la PDM
Episode 6 : 311 108 téléspectateurs (Belgique)
3 780 000 téléspectateurs (France) – 23,1% de la PDM
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INTERVIEW
C’est la première fois que vous endossez le premier rôle dans une série télévisée. Qu’est-ce qui vous a séduit dans ce projet ?
J’étais très heureux de me lancer dans cette aventure pour plusieurs raisons. Après avoir passé pas mal de temps sur les routes lors de ma dernière tournée, j’avais envie d’essayer un chemin de traverse. Jouer la comédie m’a toujours attiré et interpréter un personnage sur 6 épisodes dans une nouvelle création représentait un challenge particulièrement ludique. Quand j’ai lu les premiers dialogues, la légèreté, le décalage et l’humour qui s’en dégageaient m’ont immédiatement séduit. J’aimais l’idée de jouer un personnage qui a la possibilité de se moquer de lui-même. Panda était suffisamment proche de moi pour me rassurer dans l’appréhension que je pouvais avoir à être sur un plateau au quotidien pendant 3 mois. Et puis je rêvais de tourner dans cette région. Quand on m’a présenté ce personnage qui avait tout plaqué dans la police pour ouvrir un bar de plage, ça m’a immédiatement fait penser aux paillottes que je connaissais en Camargue. Enfin, le casting me séduisait beaucoup.
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Comment qualifieriez-vous « Panda » ?
Elle a tous les ingrédients de la série policière avec un ton et un rythme différents de ce que l’on a l’habitude de voir. Les enquêtes locales, le tempo auquel elles avancent, les décors, le duo de flics formé par Lola et Panda et leurs considérations très humaines sont en décalage par rapport aux fictions policières habituelles. Lola et Panda ne sont pas des génies. Ça fait du bien car souvent les flics sont soit des méchants, soit des superhéros. Il y a une grande maladresse affective et relationnelle entre eux, c’est très touchant. Sur le tournage, quand j’enfilais mes lunettes de soleil ou que l’on faisait des débriefs dans des voitures pourries au milieu des flamants roses, je nous voyais un peu comme les experts de Palavas !
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Qui est Panda ?
On comprend assez vite qu’il a changé de vie. Il était flic et un événement l’a fait tout plaquer. Les épisodes dévoilent au fur et à mesure une raison un peu plus profonde que celle que l’on imagine au départ. Panda est plus complexe que l’homme dont on fait connaissance au début : détaché des choses, cool, connecté à la nature… Ouvrir un bar de plage, être entouré de ses amis, leur servir un verre ou discuter, est une façon pour lui de ne plus jamais se retrouver dans des zones d’affolement ou en tout cas d’essayer de fuir la part la plus sombre de l’être humain à laquelle il a été confronté dans le passé. Panda a un fils adolescent, Roman. Leur lien, dévoilé dans les premiers épisodes, permet de comprendre les raisons de son changement de vie. Il y a aussi le personnage de Thérèse, présente à la paillote, qui joue le rôle de tampon émotionnel entre Panda et son fils. On se demande qui elle est et ce qui les lie tous les trois.
Qu’est-ce qui le pousse à collaborer sur une enquête après des années loin du terrain ?
Quand Panda réalise que le gamin poursuivi par Lola est accusé de meurtre, il ne croit pas une seule seconde à sa culpabilité. Panda ne serait pas revenu de lui-même dans ce commissariat et cela va remuer beaucoup de choses. Il va se retrouver à devoir affronter tous les ponts qu’il avait coupés. Mais il veut éviter une erreur judiciaire et décide d’aller fouiller par lui-même pour prouver que les flics font fausse route. Puis il va se prendre au jeu. Il se rend compte qu’aider les autres lui a manqué. Il perçoit aussi la détresse psychologique de Lola et qu’elle a besoin d’aide pour avancer.
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Quelle est sa relation avec elle ?
Lola a des traits de caractère totalement opposés aux siens ! Leur rencontre est assez radicale. Panda se retrouve mêlé à une histoire et confronté à cette jeune flic qui est l’incarnation de tout ce qu’il a fui, aussi bien dans son attitude, sa façon de penser ou de procéder. Quant à Lola, elle est face à quelqu’un qui est l’incarnation de la mollesse, en totale opposition avec son énergie, sa manière de travailler et son rapport aux règles. C’est le jour et la nuit qui se rencontrent. Ils vont finir par bosser ensemble sans le vouloir ni l’un ni l’autre.
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Quels points communs partagez-vous avec votre personnage ?
Mis à part certains reliefs caricaturaux, Panda, c’est moi ! Ma vie dans les Cévennes colle exactement à la façon dont il évolue dans son environnement. La paillotte, son rapport aux autres, son apparence vestimentaire sont autant de similitudes. Je me sentais bien dans ce personnage car je n’avais pas à me tromper moi-même, ni à aller chercher quelqu’un d’autre. Au fur et à mesure du tournage, j’ai pu injecter un peu l’humour qui est le mien parfois juste avec un regard ou une mimique.
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Quelle ambiance régnait sur le tournage ?
On bénéficiait à la fois de textes très bien écrits et d’un environnement très cool et ensoleillé. C’était chouette à vivre même si je n’étais pas habitué à ce rythme de travail. C’était très particulier pour moi. J’étais ravi de jouer au quotidien avec Ophélia Kolb. C’est vraiment une actrice incroyable. Elle m’a laissé des espaces d’improvisation, elle savait toujours rebondir, sans jamais être affolée. Je rêvais de tourner depuis toujours avec Gustave Kervern et j’étais ravi qu’il accepte d’interpréter le rôle du commissaire. C’était très agréable de tourner avec Hélène Vincent et Maxence Lapérouse. Je suis certain qu’il va être une immense découverte pour les téléspectateurs. Il porte son rôle de flic un peu perché avec tellement d’humour.
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Gardez-vous à l’esprit des scènes en particulier ?
J’ai vécu quelques moments mémorables avec des animaux. Dans l’épisode 2, il y a un énorme chien que l’on voit moins que prévu et c’est un peu de ma faute ! Dans la scène, j’explique à Lola que j’ai trouvé un bout de tissu dans sa gueule. On devait le filmer sauf que lors de notre rencontre, il s’est mis à me pousser en grognant. Je n’ai aucune appréhension des chiens mais quand il a à nouveau retroussé les babines au moment où je m’approchais de lui dans la séquence, je me suis dit que c’était mieux de ne pas prendre le risque d’aller plus loin !
Dans quelques scènes, je montais un grand poney. Pour coller à mon personnage, j’avais décidé de le monter à cru sans selle, ce qui était audacieux et entrainait déjà un certain inconfort au trot. Mais le dernier jour de tournage, il a soudainement décidé de s’échapper au galop sur une cinquantaine de mètres. J’ai clairement regretté ma tenue légère !
J’ai aussi en mémoire la scène d’ouverture où j’enlève un paréo et me retrouve nu. Jouer la comédie ainsi n’est clairement pas évident ! En plus, c’est une scène importante : la rencontre entre Lola et Panda et dans laquelle je devais dans la foulée démonter une arme. J’avais appris le geste avec un cascadeur mais le faire nu tout en jouant, c’était une autre histoire ! Il y a eu mille moments fabuleux, des fous rires interminables. Mon esprit est truffé de souvenirs similaires.